Temoignage-repiderma omphalite veau

Emilie HERVIOU Responsable Communication

vendredi 4 décembre 2020

Témoignage / REPIDERMA® Alternative pour prévenir les risques de gros nombrils (omphalite veau)

La SCEA Côte de la justice (80) utilise REPIDERMA® sur les cordons des veaux depuis près de 3 ans, sur conseil de Stévenn CLEC’H, pour prévenir les resiques de gros nombril (omphalite veau)

Après avoir utilisé les bombes d’oxytétracycline, ou le trempage à la teinture d’iode pour réduire les risques d’infections ombilicales (omphalite veau), le choix des responsables de l’élevage s’est porté sur REPIDERMA®.

Cohérence avec la démarche de réduction des antibiotiques

"REPIDERMA® est une bombe aérosol très facile à utiliser et beaucoup plus pratique que le trempage à la teinture d’iode, qui nécessitait beaucoup de manipulation à la préparation et générait du gaspillage de produit. Or, pour faire respecter le protocole systématiquement à chaque naissance, la praticité est un critère essentiel. Nous avons aussi choisi REPIDERMA® pour sa formulation sans antibiotique. Nous mettons en place dans l’élevage, avec Franck Dufresne notre vétérinaire, une démarche globale visant à réduire le recours à ces derniers" explique Justine Lepointe, responsable de l’atelier lait de l’exploitation.Afin de confirmer l’efficacité de REPIDERMA® pour réduire les risques d’infections ombilicales (omphalite veau), Synthèse Elevage a mis en place un essai comparatif (article précédent). Le trempage à la teinture d’iode faisant office de référence pour cette indication, il a été choisi d’y comparer REPIDERMA®, afin d’apporter la preuve de l’efficacité de ce dernier.

Identification d’axes d’amélioration

"Cet essai nous a permis de nous poser des questions quant à certaines de nos pratiques d’hygiène, et de les adapter. Pour garantir le bon respect du protocole, seules 2 personnes, selon le planning, sont désormais chargées du traitement des nombrils des veaux : elles l’inscrivent dans leur routine quotidienne, et maîtrisent la technique d’une bonne application. Nous nous sommes également rendu compte que le transport des veaux vers les niches pouvait être vecteur de pathogènes pouvant potentiellement remonter par le nombril. Désormais, une désinfection de la brouette de transport est systématiquement effectuée après chaque transport de veau du box de vêlage vers la niche". Après analyse des résultats, Christian Engel, vétérinaire HLVet, Stévenn Clec’h, responsable ruminant chez Synthèse Elevage ont fait le bilan avec Justine Le pointe et Franck Dufresne.

Temoignage-repiderma omphalite veau

Assèchement rapide et efficace des nombrils

"Le fait que 2 semaines après traitement avec REPIDERMA® plus aucun veau ne présentait de douleur à la palpation, contrairement à ceux traités à la teinture d’iode, suppose que REPIDERMA® favorise probablement un assèchement plus rapide et plus efficace des nombrils, ce qui peut fortement réduire les risques d’infection prolongée. Nous avons d'ailleurs constaté une réduction du diamètre du nombril entre le 7e et le 14e jour chez les veaux traités avec REPIDERMA® qui présentaient une réaction douloureuse à la palpation, alors que dans le lot traité à la teinture d’iode, cette réduction ne s’est pas opérée de façon aussi nette", constate Franck Dufresne.

Pratique et efficace

"À efficacité équivalente, nous allons continuer à privilégier REPIDERMA®. La consommation et le coût de traitement sont relativement raisonnables (une bombe permet de traiter 23 veaux) et REPIDERMA® est beaucoup plus pratique à utiliser et donc gage que le traitement des nombrils à la naissance ne sera pas omis. De plus, l’essai nous a permis de constater que les nombrils n’étaient pas toujours traités au même moment, malgré les procédures déjà en place. Comme l’ont suggéré les vétérinaires, nous allons mettre en place une procédure imposant le port de gants à usage unique pour appliquer REPIDERMA® pour les 2 opérateurs qui manipulerons les veaux du box de vêlage vers les niches, et un traitement des nombrils 30 à 60 minutes après arrivée du veau en niche individuelle. Ceci afin de réduire davantage encore les risques d’infection ombilicale", conclut Justine Lepointe.

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